Frimousse le chat : le chat ferrovipate ! Dc : module électromécanique pour boucle de retournement
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1) Avant d'être numérisé mon réseau était alimenté par un classique transfo redresseur de type Disjoncta Jouef. Étant en os de chien s'est posé le problème des boucles de retournement et il faut le reconnaître en courant continu c'est merdique. Pour mémoire mon plan. Dans cette page je vais exposer mes différentes solutions pour gérer cette boucle. Avec une alimentation classique ou à courant continu (DC) nous nous retrouvons avec deux polarités ( + et - ) . En inverssant cette polarité nous inversons le sens de circulation du train. Si le + et le - se rencontrent il y a court circuit. Avec cette technologie la tension dans les rails variant en fonction de la vitesse du train les accessoires sont obligatoirement alimentés par un deuxième transformateur. Avec une alimentation numérisée (DCC) du courant alternatif est injecté dans la voie donc on parle de phase et si deux phases se rencontrent il y a court circuit. Avec ce type d'alimentation la tension dans la voie est constante et le courrant continu du moteur est fabriqué dans la machine par un décodeur qui reçoit et exécute des ordres transmis depuis un poste de pilotage (centrale DCC, ordinateur) par ce courant alternatif. Avec cette technologie on peut alimenter les accessoires soit avec une alimentation auxiliaire, soit directement en prélevant le courant dans les rails si la centrale délivre suffisamment de courant (ampères). 2) Pour mes automatisme j'utilise les Ils (interrupteur à lame souple) placés sur la voie pour les commandes. Petit rappel : on appelle empattement électrique la mesure de la distance séparant les roues de captage d'un train donné. Exemple cet autorail X 2800 Roco mesure 32 cm entre tampons et a 26 cm entre roues capteuses d'électricité. 26 cm est l'empattement électrique.
Attention les rames réversibles ( TGV, RGP, etc..) doivent être équipées d'un aiment à chaque extrémité. En conclusion L2 est calculé en fonction de votre matériel et de la place dont vous disposez. Ceci est valable pour tous les automatismes commandés par Ils comme passage à niveau. Avant de lire la suite je vous invite à relire mes pages au sujet de l'électricité , des moteurs d'aiguillages et composants. 3.1 Principe de base : A la vue de ce schéma il est facile de comprendre le problème du court circuit. Deux coupures doubles A et B sont indispensables. Le courant traction est injecté en amont de la boucle. 3.2 Fonctionnement :
4 Automatisons un peu : 4.1 cas général : La distance A B doit être supérieure au train le plus long plus 3centimètres de sécurité. A et B sont fermés à tour de rôle. La distance entre Ils1 et l'aiguillage doit être supérieure au trainle plus long plus 5 centimètre. Ils2 doit être placé de telle façon que l'arrière du train soit sorti de l'aiguillage.
4.2 Cas particulier, gare terminus suivie d'une boucle de retournement :
5 L'os du chien: On appelle os de chien un réseau dont la ligne principale est encadrée par deux boucles. 5.1 Os de chien voie unique : Ce traite comme deux boucles différentes : cas général.Cependant si la distance entre le faisceau de voies et l'aiguillage est inférieur au train le plus long, la commande d'entrée dans la boucle se fera manuellement par un poussoir. Voir schéma ci dessous. Possibilité de faire tourner qu'un seul train. 5.1.2 Avec deux alimentations possibilité de faire circuler deux trains simultanément dans chaque boucle : Dans ce cas cela se complique un peu.
5.2 L'os de chien voie double : Dans ce cas aucune contrainte particulière. C'est un simple ovale de voie. 5.2.1 Communication dans le tronçon double voie, cisaillement en gare. Dans ce cas de figure nous avons à faire au train qui tourne en rond en passant deux fois par la gare. C'est le schéma directeur de mon réseau. Aucun arrêt est obligatoire et on peut diviser le parcours en cantons (minimum 4 - les deux boucles + 2 fois la gare) pour faire circuler plusieurs convois. Par contre lors des manœuvres en gare se pose le problème du cisaillement. On appelle cisaillement le fait de circuler d'un faisceau vers l'autre. Pour se faire il faut :
6 Relais et moteur d'aiguillages : Il existe deux types de moteurs d'aiguillages : à bobines ou solénoïdes ou à moteur lent. Les un marchent au courant alternatif 14 volt, et les autres au courant continu 12 volt. Il existe deux types de relais : les monostables et les bistables. La plus part fonctionnent au courant continu 12 volt. 6.1 Relais bistable montés en parallèle sur un moteur à bobines : 6.2 Relais monostable monté en parallèle sur moteur lent : Les moteurs lents sont alimentés en permanence et ne peuvent être commandés avec des poussoirs sauf cas particulier. Relire ma rubrique TCO. Les relais bistable ne peuvent sauf exception être alimentés en permanence. Donc dans ce cas j'utilise un relais monostable à courant continu. Les diodes alimentent la bobine du relais. Si j'inverse le courant, la bobine n'est plus alimentée. 6.3 Alimenter un relais monostable en remplacement de l'inverseur dans le cas de l'os à voie double. Pour ce faire j'utilise un contact auxiliaire du moteur d'aiguillage. Le pont de diode si la bobine du relais est en courant continu. Pour faire mes ponts de diode j'utilise la diode 1N4004 |
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